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Ah les fameux bredeles de Noël!

Cela fait plusieurs années maintenant que rendez-vous est pris quelques semaines avant Noël pour confectionner des petits gâteaux. Ce moment est attendu par les enfants de l’école mais aussi, semble-t-il, par les mamies! En effet, nos expertes en pâtisserie prennent en main nos élèves qui se transforment, pour l’occasion, en apprentis pâtissiers.  Lors de ces ateliers, les mamies transmettent nombres de savoirs et de savoir-faire et nos élèves apprennent quantité de choses sans même s’en rendre compte.Le résultat est fameux, les petits gâteaux sont savoureux. Mais ce qui fait la différence entre ces petits gâteaux-là et tous les autres, et qui les rend encore meilleurs,  ce sont des ingrédients un peu particuliers qui entrent dans leur composition : l’échange, le partage, le respect mutuel et le don de soi. C’est grâce à cet esprit de solidarité et d’entraide que ces “weihnachts bredeles”    acquièrent ce goût si particulier qui est celui de Noël…

   

Voici en mots et en images quelques témoignages d’apprentis-pâtissiers du CE1 – CE2 :

Lucas et Zacharie :        

Avec les mamies, on a fait des petits gâteaux au chocolat et aux amandes. On a utilisé des ingrédients et des ustensiles.

Les ingrédients : du chocolat, des vermicelles, du sucre glace, des amandes.

Les ustensiles : un fouet, un mixeur, un grand bol.

On a d’abord fouetté avec un fouet puis mixé le chocolat et on a mis la pâte dans le four. Ensuite, on a badigeonné la pâte de sucre glace. Enfin, on a mis des amandes, le chocolat mixé et les vermicelles sur les gâteaux. Ça nous a plu parce qu’on a bien aimé fouetter avec le fouet et parce que les mamies avaient plusieurs façons de faire des bredeles.

Clara et Sarah  :                

On a appris à faire des petits gâteaux avec des mamies. On a pris un saladier puis on a cassé les œufs. Puis, on a mis de la farine et du sucre. Et après on a mis le chocolat et on l’a mixé. Puis, on a ajouté du beurre et du lait et on a mis le tout dans le four. Par la suite, on a badigeonné de sucre glace et on a goûté les petits gâteaux. Les mamies étaient gentilles, on pouvait manger de la pâte!

Emmie et Eric :                

Nous avons mélangé la pâte d’amande avec des raisins. Nous avons cassé des œufs dans un saladier, après nous avons mélangé les œufs avec la farine pour faire de la pâte puis nous avons malaxé la pâte d’amande et nous avons même ajouté de la cannelle. Nous avons fait des gâteaux en forme d’étoile avec des emporte-pièces et nous avons apporté la plaque dans la cuisine pour les cuire. Ça nous a plu parce que les mamies étaient gentilles. Elles sont venues exprès pour faire des petits gâteaux avec nous.

Mathieu et Nathan :     

D’abord on a fait de la pâte puis on l’a mise dans une machine, un moulin. Il fallait tourner la manivelle l’un après l’autre et les autres enfants mettaient la main en-dessous pour récupérer la pâte. On a appris à mesurer la farine en la pesant, à peser le sucre, le sucre glace, la pâte. On a cassé les oeufs , on a découpé la pâte avec des emporte-pièces. On a mis du nutella et des vermicelles sur les gâteaux. On a aidé les mamies à faire des petits gâteaux et ça nous a plu. Les mamies avaient du plaisir et nous aussi!

Benjamin et Baptiste:  

Nous avons fait des petits gâteaux avec les mamies.

Ingrédients :céréales, chocolat

Ustensiles : cuillère, casserole, cuillère en bois

D’abord, nous avons fait cuire les céréales avec du chocolat. Puis, on a pris des céréales dans une cuillère et on a fait des petits tas. Avec l’autre cuillère,  on a poussé le tas. Enfin, on les a mis au réfrigérateur. Après on a mis les gâteaux dans un seau. Nous avons bien aimé nettoyer les cuillères. Les mamies  étaient contentes et elles nous laissaient goûter ce qu’on voulait.

Si vous aimez faire de la pâtisserie, les mamies, venez!

Noah et Pierre :                

On a appris à faire de la pâte et des petits gâteaux. On a pétri la pâte et on l’a roulée avec un rouleau à pâtisserie. Les mamies étaient sympas : elles nous laissaient goûter la pâte ou le nutella et tout ce qu’on voulait!

Julia et Emilie :               

Avec une recette, nous avons fait de bons gâteaux. Nous avons fait des pains d’épices, mais tout d’abord de la pâte.

Recette des pains d’épices

Ingrédients :

-4 ou 5 œufs

– de la farine

– du sucre

– de la levure

– des amandes

– un bol entier de chocolat

On a d’abord  mélangé la pâte. Ensuite, on l’a laissé reposer. Puis on l’a mixée. On a rajouté des raisins secs et des vermicelles. Enfin on a étalé la pâte. Et, avec un moule en forme de maenele, on a sorti des formes. nous les avons mis sur un plat que nous avons enfourné. Ça nous a plu parce que les mamies avaient du plaisir et de la joie.

Bon appétit!

Elouan et Norah :           

On a fait des petits gâteaux de Noël. On a appris à peser les ingrédients,  à les mélanger, à pétrir la pâte et à l’étaler. C’était trop chouette parce qu’on a fait les bredeles, on pouvait même les goûter. Les mamies sont gentilles, elles ont du plaisir à faire des gâteaux. Merci beaucoup les mamies!

JOYEUX NOËL A TOUTES LES MAMIES!

L’opération “Nettoyons la nature” racontée par les CE1 / CE2

Trois textes qui racontent cette expérience…

Nous  avons  nettoyé   la   nature   à la salle de  Dossenheim. Pour nettoyer la nature, on s’est servi d’un dossard fluorescent, de gants et d’un sac .Nous avons ramassé une bouteille, des câbles, du carrelage,des morceaux de verre et des morceaux de papier, une pile de chaussettes, des morceaux de vase, une peluche et du carton.                                                                                   Elouan et Pierre

Mardi 2 octobre, nous sommes allés nettoyer la nature.Nous nous sommes équipés de gants et de dossards fluorescents.On est allé à la salle pour faire du bien à la planète et pour la protéger. Vous aussi, faites-le pour que chez vous ça soit aussi propre que chez nous !                                        Mathieu et Norah

Mardi 2 octobre , les élèves de Dossenheim ont nettoyé la nature à la salle de la Zinsel. Nous nous sommes équipés de gants , de dossards fluorescents et de sac poubelles . On a fait ça pour faire du bien aux plantes, aux arbres et à la terre.                                                                                                  Lucas et Emmie

Les CE2 accueillent leurs correspondants à Dossenheim

Le déroulement de la journée raconté par Sophie, Eléna et Marina

8h00 : Madame Maubacq part à l’école de Steinbourg pour chercher les correspondants à qui il manque un accompagnateur.

8h50 : Les correspondants arrivent, nous les attendions avec impatience.

9h00 : Nous partons visiter le refuge fortifié.

10h20 : Après la visite, nous rentrons à l’école pour prendre le goûter de 10 heures.

11h00 : Nous sommes en route pour le Kugelberg et une promenade en forêt. Nous passons au “Kästebarri”, la colline aux châtaignes.

12h00 : Nous nous installons pour manger devant un grand rocher de grès dans une clairière : la carrière du Gauxberg.

12h40 : Maîtresse Céline nous propose un jeu avec les étiquettes de nos prénoms que nous avons rangés dans l’ordre alphabétique. nous avons joué au jeu des chaises et à un mémory.

13h15 : Nous rentrons à l’école pour entendre les consignes du rallye-photos.

14h00 : Nous voilà repartis pour notre rallye-photos. YOUPI!!!

15h30 : De retour à l’école, nous corrigeons les réponses du rallye.

16h00 : C’est déjà l’heure de se quitter. Mais nous garderons de bons souvenirs de cette belle journée faite de rencontres et de découvertes.

 

Océane, Valentine et Tiphanie racontent la visite guidée du refuge fortifié.

Monsieur Haeffner nous a fait la visite guidée au refuge fortifié. Au XIIème siècle le refuge fortifié était juste un mur qui entourait une tour.Au XV siècle il y avait quelque maisons qui entouraient une église.Les maisons servaient de refuge en temps de guerre . Dans les caves on conservait la viande , les légumes , les céréales , les fruits , le pain . Les maisons n’étaient un habitat permanent qu’au XVI siècle. Il y a avait une tour- porche et un pont- levis , un fossé  sec et un chemin de ronde avec des créneaux . Au XX siècle on a arraché trois maisons. On a aussi arraché le pont – levis , les créneaux et le chemin de ronde . Dans les petites maisons on vivait à 12 ou 13 personnes.

La même visite vue par Mathilde, Manon et Mélissa

Daniel Haeffner nous a présenté le refuge fortifié de Dossenheim.Il nous a montré des images du refuge autrefois.Ce refuge existe depuis le 12ème siècle.Un fossé sec entourait un mur de pierres.Des maisons étaient construites contre ce mur.Il y avait une église dans l’enclos.Quand il y avait la guerre les habitants se réfugiaient dans les maisons du refuge.Dans les caves on mettait les provisions et on mettait la viande dans le sel pour la conserver.

Mélina, Clara et Marie racontent la promenade en forêt.

D’abord nous avons fait une promenade dans la forêt de Dossenheim avec nos correspondants.Ensuite,nous avons pique-niqué avec nos correspondants dans la carrière du Gauxberg près des roches en grès rose, cet endroit a été utilisé pour tailler les pierres .Puis nous avons joué à des jeux : avec des éléments naturels, on a fait un memory, on a joué au jeu des chaises et au jeu des prénoms.

Le rallye-photo l’après-midi expliqué par Alexandre, Dorian, Nicolas et Thomas

L’après-midi, nous avions fait un jeu de piste .Ce jeu de piste s’appelle le rallye-photo.Ce jeu se compose d’un plan et de questions. Ce jeu de piste se fait dans tout le village.

Il y avait plusieurs équipes composées de 6 enfants et de 2 adultes ou une maîtresse. Ce jeu consiste à trouver les bonnes réponses.

Nous avons appris qu’autrefois on lavait le linge au lavoir. Il y avait beaucoup de fontaines car il n’y avait pas l’eau courante. Les toilettes étaient dehors. A l’entrée des maisons, on trouvait un grattoir à chaussures. Il y avait un tas de fumier dans la cour et les charrettes étaient tirées par des boeufs. Des pierres en grès rose soutenaient les poteaux du portail pour que les charrettes ne les cassent pas.

Samuel, Théo, Félix et Louis expliquent à leur manière le rallye-photo.

Il y avait des mères et des pères accompagnateurs pour nous aider. Chaque groupe portait un nom de métier d’autrefois : les sabotiers, les forgerons, les bourreliers, les charrons, les rémouleurs.

Il y avait des photos, des questions, un plan et une feuille de route. A la maison de la grand-mère de Tiphanie, il y avait des anciennes toilettes dans la cour. Nous avons vu un grattoir pour nettoyer les sabots.. Dans la rue de l’église, il y a la plus vieille maison de Dossenheim. Nos correspondants ont aussi fait le jeu avec nous. On s’est bien amusé au lavoir parce que Alexandre est tombé dans l’eau!

 

Les CE2 ont vécu une journée riche en découvertes pendant laquelle les correspondants ont appris à mieux se connaître. Ils ont partagé ensemble des apprentissages, des jeux. Ils ont fait la connaissance d’autres enfants. Riche sur le plan humain et social!

 

 

Les CE2 visitent le moulin

A notre arrivée au moulin, nous sommes allés sur la passerelle qui est sur la Zinsel.L’eau passe sous  le moulin.Il y a une chute d’eau de 2 m50 qui tombe sur les turbines . C’est la force de l’eau qui crée l’électricité.

Nous avons vu des vannes fermées et le  canal de décharge.Le canal de décharge sert a évacuer l’eau pour qu’en cas d’inondation le moulin ne soit pas inondé.On ouvre alors les vannes.

Nous sommes rentrés dans la cour du moulin. Nous avons regardé le moulin,dans le moulin il y avait des sacs de farine.

Madame Welsch nous explique le fonctionnement du moulin.

Nous avons vu le pont à bascule.Le pont à bascule sert à peser le blé dans les camions ou tracteurs ensuite on pèse le camion vide. C’est une soustraction qu’il faut faire  pour calculer le poids du blé.

Les silos servent à stocker le blé.Pour stocker plusieurs sortes de blé il faut plusieurs silos.

Il y a une tige de fer qui entraîne des courroies . Ces courroies font fonctionner des machines . Quand les machines sont à l’étage au dessus, elles traversent le plancher.

Le blé tombe par un tuyau. Il y a de gros cylindres qui écrasent le blé. Il y a plusieurs étapes: au début les cylindres sont gros et à la fin ils sont plus lisses.

M.Welsch nous montre le son du grain du blé dans sa main.  Elle l’a récupéré de la machine à2 cylindres.

Cette machine  sert à écraser  des grains . Il y a cinq machines de ce  type parce qu’il y a  plusieurs étapes.Du blé écrasé on obtient le son puis on obtient de la semoule,avant d’obtenir de la farine.

Madame Welsch nous montre de la farine dans sa main. Elle a pris cette farine dans une machine à 2 cylindres.

On voit le blé écrasé puis la grosse semoule qui tombe dans la machine à 2 cylindres.

Sur le plateau, on voit  le blé écrasé à différentes étapes : avec l’enveloppe, le son, la grosse semoule, la fine semoule et la farine. On a vu deux sortes de farine, elles ont deux couleurs : grise et blanche.

C’est l’étage où il y a des tuyaux. Dans ces tuyaux il y a de la fine semoule, de la grosse semoule, du blé, de la farine qui circulent.

Nous montons les escaliers pour aller à l’autre étage. Le moulin a 5 étages. Il y a différentes machines à chaque étage.

Nous avons vu le séparateur. Cette machine sert à séparer les saletés et les impuretés du blé : la paille par exemple.

L’épierreur enlève les petites pierres au milieu du blé.

Ce gros tuyau est l’aspirateur qui aspire la poussière du blé. Avant d’écraser le blé, il faut qu’il soit propre; on l’humidifie aussi pour qu’il soit tendre et pour qu’on ne retrouve pas de petites parties de l’enveloppe dans la farine.

Le diable sert à transporter les sacs de farine. Un sac de farine pèse 25 ou 50 kg. C’est lourd!

Nous avons aussi vu des mélangeuses et des tamiseuses en train de tourner. Les mélangeuses servent à mélanger les différentes sortes de farine. Elles sont drôles car on dirait qu’elles dansent sur des pieds avec des chaussettes!!!

Nous sommes dans la pièce où on stocke les sacs de farine. Le sol est recouvert de farine et il y a une trappe pour faire glisser les sacs directement dans le camion qui se gare sous cette pièce.

Sur chaque sac il y a les caractéristiques de la farine et l’adresse du meunier.

Nous avons observé l’ensachage. L’ensachage sert à ensacher la farine qui arrive par un tuyau. Ensacher c’est mettre la farine dans un sac.

Les sacs de farine glissent sur ce toboggan en bois et tombent dans la remorque du camion.

A la fin de la visite, nous posons des questions à madame Welsch. Nous lui en avons posé 17. Est-ce que vous savez que pour transformer 1000 kg de blé en farine, il faut 1 heure?

Nous avons encore appris que ce moulin existe depuis le XIIème siècle et qu’il appartient à la même famille depuis 1883. Le fonctionnement de ce moulin est semi-automatique. Cela veut dire que les machines fonctionnent automatiquement mais qu’il faut une personne, le meunier, pour les mettre en route et pour les arrêter.  Il lance les machines les unes après les autres et les arrêtent de la même façon, s’occupe de l’ensachage, de la qualité du blé, de la farine, de faire les mélanges de farine. Il travaille 10 heures par jour.

Le moulin fait partie d’une filière : le blé, la farine, le pain. Nous avons découvert l’importance du céréalier, du meunier et du boulanger pour obtenir du bon pain.

Dorénavant lorsque nous mangerons du pain, nous penserons à tout le travail qu’il aura fallu pour le fabriquer!

Les CE2 à la rencontre des batraciens et autres animaux de la rivière

Une journée exceptionnelle au Donnenbach

Le matin, on était d’abord dans une salle pour faire la liste des amphibiens et apprendre comment les reconnaître.  Puis on a regardé des diapositives de crapauds, de grenouilles, de tritons et de salamandres.

Il y avait une épreuve : il fallait mettre la main dans un sac sans savoir ce qu’il y avait dans le sac. Il fallait surmonter sa peur.

Ensuite, nous étions prêts pour aller chercher les crapauds tombés dans les seaux derrière les filets de protection pour les aider à rejoindre l’étang sans se faire écraser.

Nous avançons à la queue-leu-leu le long du filet au bord de la route. Derrière le grillage, il y a des seaux avec des feuilles pour réchauffer les crapauds et les grenouilles.

Il y a un bâton dans le seau pour le les campagnols puissent ressortir. Au fond du seau, on voit un crapaud!

L’animatrice nous donne un numéro de seau. Nous y allons pour voir si un crapaud est tombé dedans.

Voici un couple : le mâle s’accroche sur la femelle jusqu’à ce que la femelle ponde. Elle peut le porter sur son dos pendant des kilomètres!

Il y a un crapaud dans le seau de Mathilde et de Manon. Il faut le prendre et le placer dans un autre seau pour le porter au bord de l’étang.

On reconnaît le crapaud mâle grâce à son pouce noir.

Nous avons relâché au bord de l’étang les cinq crapauds que nous avons trouvés.

Voici deux des crapauds que nous avons relâchés. Après un moment, l’un des deux a sauté dans l’eau et est parti en nageant.

Les enfants sont réunis parce qu’il y a une grenouille qui a été tuée. Ce n’était pas beau!!!

Sur la photo de gauche ce sont des œufs de grenouilles . A droite, ce sont des œufs de crapauds en forme de collier.

On voit un couple pondre. Le mâle est sur le dos de la femelle. Il ne la lâchera que quand la femelle aura fini de pondre. La femelle est plus grande et plus grosse que le mâle. Elle doit être forte!

Les garçons sont regroupés pour manger le casse-croute de midi. Nous sommes installés sur des gradins pour manger.

L’après-midi, les enfants ont pêché des petites bêtes avec des épuisettes au bord du ponton. Attention! Il ne fallait pas prendre les amphibiens, ni les œufs, ni les têtards.

Dans le seau, on peut voir des insectes qu’on a pêché avec une épuisette. Sur la photo de droite, nous voyons une éclosion de têtards.

Valentine et Clara observent un insecte avec une loupe. Thomas, Mathilde et Manon sont en train d’écrire la fiche d’identité d’un insecte.

Alexandre et Tiphanie réfléchissent pour compléter la carte d’identité de l’animal qu’ils ont pêché. Marina et Louis cherchent des informations sur leur animal. Pour ce travail, nous avions une feuille avec tous les animaux qu’on pouvait trouver dans la mare.

Samuel, Théo et Alexandre ont pêché une sangsue! Sur la photo de droite, on voit une notonecte. Cet insecte est amusant car il nage sur le dos. On dirait un bateau avec des rames!

Les enfants ont fait une pyramide. La pyramide est composée de plantes, de têtards et d’un poisson. C’est comme une chaîne alimentaire : les plantes sont mangées par les têtards qui sont mangés par le poisson.

C’est la même pyramide avec d’autres enfants. Louis, Alexandre et Samuel sont les plantes aquatiques. Tiphanie et Nicolas sont les têtards et Théo est le poisson.

Nous avons joué au jeu du béret. Sur chaque affichette se trouvait un animal de la chaîne alimentaire. Il y avait le héron, le martin-pêcheur, le brochet, le crapaud, le têtard, une larve de libellule, une phrygane, une plante aquatique. Chaque enfant des deux équipes avait un numéro. Quand l’animatrice donnait le nom de l’animal et le numéro, il fallait courir pour être le premier à montrer la bonne affichette! On s’est beaucoup amusé!

Les CE2 expliquent les ateliers d’expression artistique

Les engins à roues par Dorian et Tiphanie

Les engins à roues sont des pédales fixées sur des roues. Une personne monte sur l’engin et une ou deux personnes lui tient la main. Parfois, c’est facile, parfois, c’est difficile.

Le jeu du parachute par Valentine et Mélina

Le jeu du parachute est amusant mais difficile parce qu’il faut mettre une balle dans un trou au milieu du parachute. Attention, la balle ne doit pas sortir du parachute alors il ne faut pas donner de grand coup. C’était trop bien!

L’acrosport par Nicolas et Félix

Acro veut dire acrobatie. On faisait des figures acrobatiques. On piochait une carte. Dessus, il y avait des figures représentées. C’était très dur!

L’atelier mains et pieds par Théo et Samuel

C’est un parcours d’équilibre. Des signes correspondent aux parties du corps : rond = main, flèche = pied, équerre = genou. Il faut avancer au rythme de la musique et respecter les signes, garder l’équilibre et finir le parcours sans tomber. Les personnes de l’équipe qui attendent leur tour, frappent le rythme.

Le step par Océane et Eléna

Matériel : un escabeau, un lecteur de CD, des CD.

On doit suivre le rythme, en montant et en descendant d’un escabeau. Ce n’est pas trop difficile. Nous sommes allés sur la scène. On a dansé sur plusieurs musiques différentes.

Les foulards par Alexandre et Louis

Nous avons pris des foulards pour faire des gestes d’animaux : d’oiseaux, de serpents, de canards, etc…  Moi, Alexandre, je n’ai pas aimé parce que je n’arrivais à rien. Moi, Louis, ça m’a plu parce qu’on faisait des gestes d’animaux.

Le jonglage par Marie et Manon

On prend deux petites balles. Ensuite, on lance une balle après l’autre et on les rattrape. Au début, c’est difficile mais à la fin, ça va!

Les assiettes par Marina et Sophie

Matériel

Il nous faut : un bâton en bois et au bout il faut qu’il soit pointu, une assiette spéciale en plastique.

Règles :

Mettre l’assiette en plastique sur la pointe du bâton puis la faire tourner en utilisant sa main.

Si vous vous êtes assez entraînés vous pouvez faire des figures : faire sauter l’assiette et la rattraper sur le bâton, s’échanger l’assiette entre camarades.

Petit conseil : avant de faire ces figures, il faut être très entraîné.

Les anneaux par Mélissa et Mathilde

On avait fait du jonglage avec les anneaux. Il y avait une ficelle et deux anneaux collés. On enroulait la ficelle autour des anneaux, on les jetait et ça roulait.

Le diabolo par Clara et Thomas

Un diabolo sert à faire des figures. On a deux baguettes de bois au bout desquels est accroché une ficelle. Le diabolo est en métal et en plastique. C’est difficile à manier. Parfois les ficelles s’emmêlent.

Pour les CE2, Noël c’est…

Noël c’est un moment magique.
Noël c’est quand on invite des gens à fêter la veille de Noël.
Samuel Atanowski.

Noël c’est plein d’amour à partager.
Noël c’est être réuni.
Sophie Kapps

Noël c’est le bonheur des enfants sages.
Noël c’est un sapin qui illumine une pièce dans la maison.
Elena NUNES

Noël , c’est plein de lumière.
Noël , c’est plein de cadeaux.
Marie Welsch

Noël ,c’est la fête.
Noël ,c’est plein de joie.
Mélina Brenke

Noël, c’est chouette.
Noël, c’est recevoir des cadeaux
Dorian GUIGON

Noël, c’est le sapin qui éclaire la maison le soir.
Noël, c’est des gâteaux sur la table…
Mathilde Porche

Noël ,c’est un moment de paix pour quelques heures.
Noël ,c’est un moment où l’on pense à Jésus-Christ.
Alexandre Schnell

Noël , c’est quand il y a des lumières partout .
Noël , c’est quand le sapin est plein de couleurs .
Marina Cornu

Noël c’est un jour de bonheur.
Noël c’est très agréable.
Valentine Kern

Noël , c’est la joie
Noël , c’est un sapin dans la maison.
Tiphanie Ott

Noël, c’est rempli d’émotion.
Noël, c’est une nuit magique.
Nicolas Boese

Noël, c’est une lumière qui brille.
Noël, c’est quand on mange des gâteaux.
Océane Maubacq

Noël, c’est magique.
Noël, c’est du plaisir.
Mélissa Muller

Noël c’est faire la fête.
Noël c’est donner des cadeaux.
Thomas Richert

Noël, c’est manger une bûche de Noël.
Noël, c’est merveilleux!
Louis Reeb

Noël, c’est être content.
Noël, c’est beau et bien.
Clara Decker

Noël c’est magnifique!
Manon Traber

Noël, c’est une étoile.
Noël, c’est décorer le sapin.
Félix Carmaux

Les écoliers à la bibliothèque

Les écoliers se rendent régulièrement à la bibliothèque municipale. A l’ère où l’écran captive les enfants, ces derniers éprouvent toujours beaucoup de plaisir entourés de livres.  Tous aiment toucher le livre, le feuilleter. Le plaisir est immédiat et multisensoriel. Il permet de s’évader, de rêver, d’apprendre.

La bibliothèque est un autre lieu d’apprentissage. Les activités varient en fonction de la tranche d’âge à laquelle on s’adresse.

Les enfants de l’école maternelle écoutent des histoires,  créent des collections autour de thèmes travaillés en classe et choisissent un livre pour le rapporter à la maison et partager la lecture avec papa et maman.  Ils y construisent leurs premiers repères.

Les élèves de l’école élémentaire découvrent la diversités des genres de livres, ils repèrent la cote (“l’adresse”) qui permet de ranger ou trouver les livres. Ils étudient la 4ème de couverture pour dégager le sujet de l’histoire afin de choisir un livre et l’emprunter. Ils font des recherches documentaires pour enrichir leurs connaissances et comprennent l’utilité du sommaire. Le lexique autour du livre est travaillé au travers des multiples activités.

Ce partenariat avec la bibliothèque permet à l’école de développer une culture du livre. C’est un réel tremplin qui permet aux enfants de devenir des lecteurs experts.

Un grand merci à Madame Christen qui accueille les classes. Elle fait vivre ce lieu et y rend les apprentissages possibles.

A Dossenheim, grâce à sa bibliothèque bien fournie, le livre numérique n’est pas prêt de détrôner le livre papier!

Fiche de fabrication d’un coeur de lavande par Sophie Kapps (CE2)

Matériel :

-du tissu

-une machine à coudre

-du fil

-des épingles

-de la lavande

-des ciseaux

-un patron

-une aiguille

Etapes de fabrication :

1.Mettre le coeur en papier sur le tissu, puis épingler le coeur sur le tissu.

2.Maintenant découper autour.

3.Enlever le patron mais réépingler le tissu (Attention de ne pas perdre les deux bouts de tissu!)

4.Coudre le bord avec la machine en laissant une encoche.

5.Remplir de lavande le petit coeur.

6.Coudre avec un fil et une aiguille pour fermer le petit coeur et voilà, votre coeur est terminé!

Réalisation d’un patron en forme de coeur

Matériel :
-des ciseaux
-une feuille
-un crayon
Etapes de fabrication :
1.Plier la feuille en deux.
2.Tracer la moitié d’un coeur contre le pli.
3.Découper la moitié du coeur et le déplier.

Cette fiche de fabrication a été écrite par Clara Decker, CE2.

Histoires de mesures

Chacun sait que pour réussir de bons petits bredeles, il ne suffit pas de mélanger de bons ingrédients, encore faut-il mesurer les bonnes proportions. Ainsi, nos élèves ont-ils appris  dans le cadre des ateliers bredeles, à utiliser des balances ménagères électroniques ou mécaniques afin de peser ces ingrédients.

Dans l’atelier de fabrication  de bougies, les enfants devaient peser la quantité de cire à faire fondre. C’est avec un grand sérieux que les enfants ont cherché à obtenir l’équilibre entre les 2 plateaux de la balance de Roberval tout en “jouant” avec les masses marquées. Peser devenait un jeu!

Qui dit bougie dit mèche. Et là encore, il y a  des mesures… de longueur cette fois. D’abord, mesurer la hauteur du récipient qui accueillera la cire fondue, puis mesurer la longueur de la mèche avant de la découper.

L’air de rien,  les mesures étaient omniprésentes lors de cette matinée de pâtisserie et de bricolage intergénérationnelle!