Archives pour la catégorie Classe CM1-CM2

Le Centenaire de l’armistice du 11 novembre 1918

Ce jour, une trentaine d’élèves de l’école primaire ont participé activement à la cérémonie du 11 novembre qui s’est déroulée devant la mairie, à quelques mètres du monument aux morts.

Après l’allocution de Monsieur le Président de la République lue par Monsieur Bastian, le Maire de Dossenheim sur Zinsel, Axelle, Loïck, Aïdan, Quentin M. Antoine et Chloé H. ont rappelé le nom des personnes de notre village qui sont morts durant la première Guerre Mondiale et qui sont gravés sur le monument aux morts.

Nous avons assisté ensuite au dépôt de la gerbe. Ce sont deux élèves de l’école qui ont accompagné Monsieur le Maire. Après nous avons chanté la Marseillaise. William, Lilie, Guillaume et Clara E. ont ensuite lu le poème d’Arthur Rimbaud ” Le Dormeur du Val” en souvenirs des poilus et Quentin H. a lu un poème “Au champ d’honneur” de John Mac Crae qui parlait des pensées des jeunes qui ont vécu l’horreur des champs de batailles.

Enfin, nous avons tous chanté ” La croisade des enfants” de Jacques Higelin (1985 – AI). C’est un beau texte qui dit qu’il n’y a pas de place pour la guerre dans notre monde d’enfants et qui nous donne l’espoir de vivre en paix.

Crédits photos: E.D / D.C

Les enfants au chevet de leur environnement

Après l’action citoyenne lancée par la municipalité, les élèves des classes élémentaires ont enfilé les gants, les tabliers et pris en main les sacs pour s’occuper de différents secteurs autour de l’école.

Ainsi les CP-Ce1 sont allés vers la piste cyclable, les ce2-Cm1 se sont orientés vers la salle de la Zinsel et les plus grands sont allés dans le cœur historique du village.

Une bonne action qui en appellera d’autres. Respecter de la nature, favoriser la biodiversité commence par une prise de conscience de la beauté de leur milieu de vie. Rien de mieux que de se promener dans notre village et d’ouvrir les yeux du bon coté!

Le projet artistique interdegré dans le DNA

Les ateliers “Energie – Eolienne”

Dans le but de vouloir approfondir les connaissances sur les énergies renouvelables, les classes de Ce2, Cm1 et CM2 ont suivi des ateliers, à l’école puis à Lorentzen, guidés par Loïc. (Texte collectif des élèves de CM1 et CM2)

Mardi matin, avec Loïc, animateur de La Grange aux Paysages de Lorentzen, nous avons fait une partie de loto sur les énergies renouvelables. Nous sommes arrivés à faire la différence entre les énergies épuisables et renouvelables comme le biocarburant à base de betteraves, les éoliennes qui fabriquent de l’énergie électrique à partir de la force du vent, l’énergie solaire, l’énergie hydraulique, la biomasse à base de déchets et la géothermie qui utilise la chaleur du sol.

L’après midi, nous avons tout d’abord joué à l’épervier dans la cour. L’épervier était le CO2. Durant cet exercice, Loic a voulu nous expliquer que les rayons du soleil sont renvoyés dans l’atmosphère et d’autres restent sur terre avec le CO2. C’est ainsi que se forme le réchauffement climatique qui perturbe le climat et fait fondre les glaciers dans les hautes montagnes ou encore la banquise.

De retour en classe, en dernière heure, nous avons fait quatre ateliers. Le premier consistait à faire fonctionner une grande éolienne à l’aide d’un ventilateur. L’inclinaison des pales de l’éolienne a permis de nous rendre compte de son utilité. Si les pales ne sont pas bien inclinées par rapport au vent, l’éolienne ne fonctionne pas.

Dans le second atelier, on avait trois petites éoliennes. Elles étaient toutes reliées à un tableau qui nous permettait de savoir combien d’habitants pouvaient être alimentés avec une éolienne. On a appris de cet atelier que 2000 habitants peuvent être raccordés à une éolienne.

Dans le troisième atelier il y avait deux types d’éoliennes. Une était équipée de pinces crocodiles. Cet atelier nous a permis de comprendre que c’est lorsque l’éolienne tourne qu’elle produit de l’électricité.

Dans le dernier atelier, il y avait des engrenages. On devait à partir de plans construire le système d’engrenage demandé. Cet atelier nous a permis de comprendre que si la première roue fait un tour, la seconde peut en faire plus. Tout dépend de sa taille. Dans une éolienne, le système d’engrenage se trouve dans la nacelle juste avant le générateur et est entrainé par la rotation des pales. Ce système se nomme le démultiplicateur.

La sortie au parc éolien de Dehlingen

Dans le cadre du projet sur les énergies, les élèves de CE2, CM1 et CM2 ont approfondi leurs connaissances sur les éoliennes. D’abord, de nouveaux ateliers à la Grange aux paysages à Lorentzen ont mis en lumière différents aspects sur ce producteur d’énergie. Un jeu de rôle très instructif a notamment permis aux enfants de comprendre que l’implantation d’un parc éolien n’était pas simple, les enjeux et les contraintes étant multiples. Une visite pédagogique du parc éolien de Dehlingen a finalisé ce projet où Dame Eole nous a honoré de sa présence.

Les éoliennes

Nous allons vous parler des éoliennes de Dehlingen.

Une éolienne mesure 125m de haut, les pales mesurent 45m de long et le mât 80m de haut. Il faut 37 enfants pour faire le tour d’une éolienne. Une éolienne pèse 460 t . Les fondations de cette machine pèsent 800 t. La durée de vie  d’une éolienne est d’au moins 20 ans. Le prix de ce générateur, son installation et son raccordement coûte 4,5 millions d’euros.

Comme une éolienne fait le même bruit qu’un lave-vaisselle, c’est-à-dire 60 dB, il faut qu’elle soit au moins à 500m des habitations.

Il faut 6 mois pour fabriquer ce producteur d’électricité, une semaine pour le monter et un ou deux jours pour le démonter. 90% des pièces se recyclent. Il faut 7 camions pour transporter une éolienne.

Pour qu’une éolienne tourne, il faut que le vent soit à 15 km/h. Quand le vent commence à être fort, l’éolienne pivote et se met dans le sens du vent.  A partir de 90 km/h, elle s’arrête. L’anémomètre donne la vitesse du vent. Nous l’ avons mesuré : à 2m50, le vent était de 17 km/h.

Romane et Noémie

Comment et où implanter des éoliennes?

Quand on doit implanter des éoliennes, il faut faire attention aux habitations car la distance doit être de 500 m. Il faut aussi faire attention aux oiseaux qui font des nids près des éoliennes. Donc à Dehlingen, en juin, on arrête les éoliennes pendant une semaine pour que le milan royal puisse chasser sans danger.

Pour construire un parc éolien, il faut au moins 5 éoliennes. On peut mettre ce producteur d’énergie sur une colline mais pas trop près des forêts parce que les arbres arrêtent le vent.

Les paysans peuvent louer leurs parcelles où on installe des éoliennes, en même temps, ils gagnent de l’argent.

On doit demander la permission au maire s’il est d’accord pour qu’on implante des éoliennes.

Axelle et Lilie.

Les acteurs dans un projet éolien et leurs intérêts.

Les promoteurs d’éoliennes doivent trouver le bon endroit pour gagner plus d’argent qu’ils n’en dépensent. Il faut que le projet soit rentable. Les agriculteurs  et les éleveurs sont d’accord pour louer leurs champs et leurs prés, mais ils ont peur que ça effraye leurs animaux.

Les naturalistes veulent qu’on fasse attention aux oiseaux et à la nature.

Les propriétaires d’un gîte ou d’un hôtel sont ravis d’avoir des éoliennes pour attirer des clients mais ils ne les veulent pas trop près, ni trop loin.

L’association “non aux éoliennes” dit que ça pollue l’environnement visuel.

Le maire veut satisfaire les villageois pour qu’il soit réélu aux prochaines élections.

Jordane, Léonie et Lara F

Dans les DNA du 06 mars 2018

La journée au collège

Le jeudi 8 février, la classe CM1-CM2 est allée au collège de Bouxwiller. Le matin, nous avons fait l’épreuve des «Mathématiques sans frontière» avec les 6ème 2 de M. Jund (professeur de Mathématique au collège). Les maîtres nous ont répartis dans les deux classes. Dans chacune, il y avait 7 groupes de 3 à 4 élèves. Nous avons eu 9 épreuves. Il y en avait une qui était en langues étrangères. Après, il y a eu la récréation et nous avons vu plein d’anciens CM2 de Dossenheim.
Ensuite, on a fait 1 heure d’Allemand. Pendant ce cours avec une professeure du collège, nous avons fait un jeu pour se présenter, puis un jeu de memory.
C’est après ce cours que Monsieur le principal nous a donné des explications sur le fonctionnement du collège.
Vers midi, nous nous sommes dirigés vers la cantine pour y manger.
Dès 13h, nous avons eu des ateliers de langage et d’expression. Mme Mourier-Bastian et Mme Arnoux (professeures de Français au collège) et M. Carmaux nous ont répartis en 3 groupes avec la classe des 6ème 4. Nous avons travaillé avec cette classe de 6ème car nous allons développer un projet artistique avec elle. Chaque maître avait donc un exercice. Lors du premier exercice, nous devions emmener un objet qu’on adore et nous devions le présenter aux autres. Il nous a permis de faire connaissance avec les autres élèves du groupe que l’on ne connaissait pas encore. Dans le second exercice, on avait des cartes avec des images et nous devions raconter une histoire avec les cartes en 2 minutes.
C’était un exercice de créativité mais aussi de vitesse. Dans le troisième exercice, on devait lire une phrase dans un livre et prendre une posture qui correspondait à la phrase.

Nous avons pris beaucoup de plaisir lors de notre journée au collège. Maintenant, on est presque fin prêt pour y aller. On sait à peu près comment le collège fonctionne.
Un grand merci à Monsieur Dal Cortivo (le Principal du collège du Bastberg de Bouxwiller) qui nous a permis de vivre cette journée et à tous les professeurs.
C’était génial !!!       

Rencontre d’expression artistique Usep

Des écoles de notre secteur Usep c’est à dire celles de Steinbourg,  Hattmatt et Dossenheim se sont rendues vendredi matin à la rencontre de danse organisée par l’USEP Les Sportifs en herbe (Steinbourg) à Dossenheim sur Zinsel pour un moment d’échange et de partage.

Ainsi, le programme développé autour du thème de la NATURE et présenté par 11 groupes de danseurs et danseuses (près de 200 élèves des classes maternelles et élémentaires) a permis aux différentes classes de présenter leur travail d’équipe.

Gracieux, inventifs, techniques et surtout artistiques, les adjectifs décrivant ces présentations ne manquèrent pas. Une nouvelle fois, l’USEP a permis aux enfants de valoriser leur travail et a enthousiasmé tous ces jeunes pendant cette matinée de partage.

Cette matinée s’est terminée par un moment de Zumba collective dirigée par Elodie W. Un grand merci également à Stéphane K. pour la gestion sono de la matinée.

Ps: dix sept vidéos ont été prises. Cependant parfois des incidents se produisent et une vidéo concernant la classe de maternelle de Mme Ruhlmann n’a pas démarré au bon moment. Au retour des congés d’Hiver, nous essayerons de pallier ce fait. Peut-être également que la danse sera reproduite en Juin lors de la fête de l’école.

Des journées d’école à la montagne

Dernièrement les élèves des classes de Mme Daul et M. Carmaux sont allés au champ du feu pratiquer le ski de fond. Ces journées étaient bien différentes que celles que les élèves peuvent vivre d’habitude. En effet, bien équipés pour être protégés du froid, les nouveaux explorateurs ont enfilé leurs skis de fond et se sont aventurés sur les pistes glacées du domaine de la Serva.

Après avoir fait une halte au parc nordique pour travailler leur aisance avec les planches aux pieds, ils ont effectué la boucle prénommée “Princess Emma” qui fait au total 2.5km.

Après avoir déjeuner au chaud dans la salle hors sac du chalet du conseil départemental, tous les jeunes skieurs ont pris le chemin des lisières du bas puis du haut pour finir leur périple dans le domaine des myrtilles avec des descentes au programme des plus “courageux”.

Belles journées, beaux efforts, belles expériences et très beaux souvenirs.

PS: Merci aux parents accompagnateurs.

Dossenheim-sur-Zinsel – Cie Rebonds d’histoires Première secousse

Sous forme de classe test, des élèves de Dossenheim-sur-Zinsel ont assisté jeudi à la répétition du spectacle « Tremblements » par la Cie Rebonds d’histoires. Le récit est inspiré de leurs propres tremblements intimes.

La répétition s’est déroulée en présence des élèves. PHOTO DNA
Trembler de peur, de froid ou de colère comme peut trembler la terre lors d’un séisme. Qu’elles soient de petites ou grandes magnitudes, de ces secousses, il faut se reconstruire. « Tremblements » est un spectacle d’images et de récits dès 9 ans de la Cie Rebonds d’histoires en résidence au Château de Lichtenberg et mis en scène par Kathleen Fortin. Sa création a débuté en mars 2016, et le travail d’écriture en fin d’année après avoir collaboré avec les élèves de CM1 et CM2 de l’école primaire de Dossenheim-sur-Zinsel.
Questionnés sur leurs propres tremblements intimes, ils ont assisté à des laboratoires, écouté des essais avant de formuler les questions d’un collectage mené auprès de leur entourage. Exprimant leurs incompréhensions, leurs doutes ou leurs préférences, les élèves ont formé une classe témoin pour Kathleen. De ces échanges, elle écrira les récits et la trame dramaturgique des histoires dites ou montrées et fera dialoguer entre eux récits de vie, faits scientifiques, histoires fantastiques, donnant ainsi une version plurielle du phénomène de tremblements.
Ce travail mis en scène a été présenté aux élèves lors de cette répétition. Dans la salle de la Zinsel, ils y ont tout d’abord découvert le décor, une scène recouverte de livres, puis les deux acteurs marionnettistes, Jeanne Barbieri et Pierre Biebuyck qui ont mis en mouvement ce continent. Des ouvrages sont nés des paysages et des silhouettes de papiers permettant de montrer ce que la parole ne peut libérer. Quant aux meubles à la stabilité relative, ils sont parfois devenus continents qui s’entrechoquent, parfois refuges. Passant du statut de témoin à celui de juge, les enfants ont été interrogés par Kathleen à l’issue de la répétition. De critiques positives ou négatives ainsi récoltées, elle apportera quelques modifications à la création. Quant aux élèves, ils assisteront au projet, toute faille alors comblée, lors des représentations scolaires fin janvier à Ingwiller.

DNA du 29/12/2017

Le grand rhinolophe, un animal à découvrir

Les élèves de CE2 CM1 et CM2 ont eu l’immense chance d’assister à la projection du film  “Une vie de grand rhinolophe”. Ce documentaire embarque le spectateur à la découverte d’une espèce de chauve-souris. Il découvre ainsi comment cet animal évolue dans son milieu naturel, quel est son intérêt pour l’homme et la nature.

Filmé avec beaucoup de poésie par Tanguy Stoecklé, ce film d’une durée de 49 minutes,a véritablement captivé l’assistance. A l’issue de la projection, un échange très intéressant a pu avoir lieu avec le réalisateur. Une chance inouïe…

En classe, l’exploitation de ce film a donné lieu à divers travaux et séances de sciences, de vocabulaire, d’expression écrite.  Voici un aperçu des productions des élèves de CE2 CM1.

Le Grand rhinolophe

Il pèse de 17 à 30 grammes. Il mesure de 5,7 à 7 cm. Son envergure est de 35 à 40 cm. Il peut vivre jusqu’à 30 ans.Ses ailes  lui servent à  voler. Ce sont ses mains. Elles sont recouvertes de patagium. Le rhinolophe s’accroche au plafond avec ses orteils.Quand il hiberne sa température baisse jusqu’à 7°C. Quand il se réveille, sa température monte à 40°C. Si on le réveille avant la fin de sa période d’hibernation, il meurt car cela lui prend trop d’énergie et de graisse pour finir d’hiberner.                                                                 MATTEO    GABIN

Leur habitat

L ‘été, les chauves-souris sont  dans des granges. Elles dorment et hibernent dans des caves ou dans des grottes en hiver. Elles dorment au plafond pour qu’elles puissent mieux s’envoler et se protéger.  CORENTIN  AMBRE

L’alimentation des chauves-souris

Les chauve-souris mangent des insectes: des abeilles, par exemple. Pourquoi les chauves-souris sont malades? Parce que les insectes mangent des pesticides et après les chauves-souris mangent les insectes.  NOEMIE  CAMILLE  AXELLE

La chasse

Les chauves-souris chassent la nuit les insectes. Elles s’éloignent de 5 km pour chasser. Parfois elles vont jusqu’à 15 km de leur gîte. Elles volent lentement, en papillonnant, à une vitesse de 8 km/h. Elles chassent près des lacs et dans les forêts.  MATHIAS ARTHUR ESTEBAN

A LA NAISSANCE

Le  bébé  sort par le vagin. Une fois sorti, la maman lave le petit. Trois  jours après, le nouveau né s’accroche au ventre de sa mère. La maman part chasser avec son petit sur le ventre. Il ouvre les yeux au bout de 7 jours. Quand il est assez grand pour rester seul, elle gigote pour qu’il s’accroche au plafond.

LARA A   ENGELO

L’éducation de la chauve-souris

Quand le bébé naît, il est serré contre le ventre de sa mère.Quand la maman doit partir pour aller en chasse, elle doit gigoter pour que le bébé s’accroche au plafond.Puis pendant que la mère chasse, les autres mamans chauves-souris veillent sur lui.Le bébé commence à voler au bout de 26 jours.Il reste d’abord dans la grange. Il sort chasser après 30 jours près du gîte. Sa mère lui apprend à chasser. Vers 60 jours, il a atteint sa taille adulte. Il s’éloigne progressivement de son habitat.                                                            JORDANE LEONIE CHLOE

   L’hibernation                 

La chauve-souris hiberne pendant 4 à 6 mois. Elle stocke plein de graisse dans son corps en automne. La température de ce mammifère descend à 7°C. Elle ralentit son rythme cardiaque pour hiberner. A la fin de l’hibernation, sa température remonte à 40°C puis elle se réveille. Elle hiberne dans une grotte. LARA  A.  ENGELO

L’écholocation de la chauve-souris

Les chauves-souris envoient des cris tellement aigus que nous les humains nous ne les entendons même pas ! Ca s’appelle des ultra-sons. Et les cris de l’animal résonnent et lui reviennent, comme ça elle sait si c’est un obstacle .On appelle ça un écho.                                                          AÏDAN   LOÏCK  JEREMY

Les menaces des chauves-souris

Les voitures : les chauves-souris traversent les routes à 1 mètre de hauteur.

Les pesticides: quand les insectes mangent les plantes , ils sont intoxiqués. Après, les chauves souris mangent les insectes, elles tombent malades.

Les prédateurs : les rapaces (faucons,éperviers,chouettes), les serpents, les mammifères carnassiers(chats,belettes,fouines).  MATHIS    LARA F   LILIE

 La capture des chauve-souris

Pour capturer les chauves-souris, il faut étendre un filet. Les scientifiques les capturent pour les étudier. Mais il faut agir vite pour ne pas qu ‘elles meurent ou qu’elles ne se blessent. Après avoir été étudiés, les grands rhinolophes sont relâchés dans la nature.               ROMANE  QUENTIN  M     QUENTIN H

Ateliers Bredele

Les bredele de Noël

Dernièrement, nous avons fait des bredele avec quelques mamies. Il y avait les mamies d’Eric, Nathan, Jordane, Quentin, Clément, Jade et Noémie, ainsi que le papi de Clara.

Avec toutes ces personnes, comme pour les autres classes élémentaires de l’école, nous avons été répartis en petits groupes. Certains groupes ont fait de la pâte à gâteau, d’autres ont pris la balance pour peser, d’autres ont fabriqué la pâte pour ensuite la mettre dans des pochoirs ou des moules. On a aussi aplati des boules avec le doigt pour y mettre de la confiture avec des amandes ou on les a trempées dans du sucre glace…

Dans un autre groupe, on a utilisé des emporte-pièces pour découper des formes rigolotes. Pour certains bredele, on devait appliquer du chocolat dessus.

A entendre les mamies, elles ont vécu ces ateliers avec beaucoup de plaisir. D’après nous, elles viennent à l’école pour nous apprendre à faire des bredele et transmettre leurs savoirs (Clara). Nous aimons lorsqu’elles viennent car elles nous permettent de travailler avec elles (Benjamin) et en plus c’est un atelier créatif (Kaï). Nous avons apprécié ce moment car il est rare. On ne le fait qu’une fois dans l’année (Alex). Elliot a aimé ce moment parce qu’il était avec les mamies. Victoria a surtout aimé cet atelier parce qu’elle a trouvé du plaisir à faire des bredele avec les mamies et, en plus, cela rapportera des sous pour les sorties scolaires. Thibault a appris beaucoup de choses surtout en vocabulaire. Par exemple : la tôle porte les bredele au four. Eva a malaxé la pâte. Kaï l’a plutôt pétrie.

Nathan a trouvé que faire des activités avec ces gens (les mamies) lui avait procuré du plaisir. Timéo a aimé cette activité car il a pu changer de table et faire différents ateliers. Camille a découvert plein de sortes de bredele….

Marina a aimé car elle a pu mettre les ingrédients dans le saladier mais, avant, il fallait les peser (mesurer avec la balance. Parfois on peut aussi utiliser le verre mesureur dit-elle).

Eric a trouvé du plaisir dans tout le travail manuel. Il a dû prendre deux bredele et les coller avec du chocolat. Dur travail… mais délicieux !

Tout le monde a trouvé que c’était une super idée de faire des bredele de Noël avec les mamies. Vivement le marché de Noël !

Les ingrédients de base des bredele sont : le beurre, la farine, les œufs et le sucre.

Vocabulaire : confiture, emporte-pièce, beurre, œuf, amande, spatule, farine, pochoirs, balance, sucre (sucre glace, sucre vanillé), pâte, cuillère, chocolat, cannelle, fouet, saladier, vanille, moule, raisin sec, couteau, verre mesureur, papier sulfurisé, vermicelle de chocolat, levure, bol, réchaud, pinceau, casserole, four, plateau, pépites au chocolat, moule en silicone

Notre participation au rallye Hanauxy’jeunes 2017

Ce projet interdegré a rassemblé deux classes du premier degré et les élèves cyclistes de 6ème. La centaine d’enfants était encadrée par 25 adultes (parents et enseignants) et un escadron d’élèves de 3ème volontaires. Les élèves de Dossenheim étaient répartis dans les différentes équipes de ce rallye, tout comme les élèves d’Obermodern.

Pendant toute une journée, les dix équipes ont navigué entre les 5 étapes de Bosselhausen et les 5 étapes de Bouxwiller.

Variées sur le thème des maisons alsaciennes, ces étapes demandaient de l’imagination,de la réflexion, de l’engagement physique, de la collaboration, de la motivation et parfois de la dextérité manuelle.

Ce rallye interdegré permet outre la sortie en vélo d’apprendre à connaitre l’autre, de collaborer et ainsi de moins appréhender la rentrée en 6ème et étant sûr d’avoir déjà des connaissances au collège.

Ainsi après nos deux visites “Mathématique sans frontières” où l’on a terminé collectivement (avec une classe de 6ème du collège) à une très jolie 24 ème place, les élèves ont une nouvelle fois participé à une action du collège, pour leur plus grande joie. Les résultats seront annoncés à l’occasion des portes ouvertes du vendredi 23 juin.

Cette journée chaude (caniculaire dans l’après-midi) restera malgré la fatigue et la chaleur un bon souvenir pour ces enfants.

Les enfants de la classe de CM remercient M. Dal Cortivo, le principal du collège de les avoir invité à participer à cette édition 2017 du rallye Hanauxy’jeune.

Résultats des différents concours

Mathématiques sans frontières:

Les CM1 CM2 6ème se classent 24ème sur 168 participants de leur catégorie. Un bon résultat pour le partenariat avec la classe du collège du Bastberg.

Marathon d'orthographe 2016/2017:

Les Ce2 de Mme Daul se classent 14ème de leur catégorie. 

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Les Cm2 de M. Carmaux obtiennent la 12ème place.

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Les Cm1 de M.Carmaux sont 1er!

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Bravo à tous les élèves des différentes classes participantes!

 

Les gendarmes à l’école: action de prévention des dangers de la route

DNA – Secteur Bouxwiller – 17 juin 2017