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Classe de CE1 / CE2 + CM1 Corrections

Correction du travail des CE1

Correction du travail des CE2 CM1

 

Programme pour les CE1 : 16 mars

Bonjour chers parents,

Je vous propose de vous donner par la voie du blog deux fois par semaine, le lundi et le jeudi un programme de travail pour votre enfant. Il pourra être fait sur deux jours : lundi et mardi ; jeudi et vendredi. Vous aurez en différé la correction des exercices , le mercredi pour le travail donné le lundi et le lundi pour celui donné le jeudi.

Bon courage à tous, Hélène Daul

Voici le programme pour lundi 16 mars. 

*Dictée de mots  O 22 : savoir écrire les mots  sans erreur

*GRAMMAIRE : les déterminants.

  1. Lire la leçon G 12
  2.  Faire les exercices sur la feuille rangée dans le protège-cahier rouge du cahier du jour (CJ)

*POESIE : réciter la poésie en entier

*MATHS  : Je fais le point p.80 dans le Fichier de maths

*LECTURE : Lire pour découvrir p.66 dans Pépites

Programme pour mardi 17 mars

*CONJUGAISON : les verbes fréquents avec je et tu au présent

Dans Pépites p. 159 :

  1. Lire la leçon “Je retiens”
  2. Faire  les exercices 2 p 158 et 1 p 159

*MATHS

Fiche 61 : la table de 2

*LECTURE

Lire pour travailler la fluidité, la ponctuation, les liaisons, au moins 5 fois p.66 de la ligne 1 à la ligne 12.

 

Programme pour les CE2 et CM1 (à besoins)

Bonjour chers parents,

Je vous propose de vous donner par la voie du blog deux fois par semaine, le lundi et le jeudi  un programme de travail pour votre enfant. Il pourra à chaque fois être fait sur deux jours (lundi et mardi ; jeudi et vendredi). Vous aurez en différé la correction des exercices , le mercredi pour le travail donné le lundi et le lundi pour celui donné le jeudi.

Bon courage à tous, Hélène Daul

Voici le programme de travail du lundi 16 mars

*Dictée de mots O 22 : savoir écrire sans erreur ( CE2 et CM1)

*GRAMMAIRE (CE2 et CM1)

  1. Lire la leçon sur les déterminants  GR 12a dans G4.
  2. Faire les exercices sur les déterminants sur la feuille rangée dans le protège-cahier du cahier du jour (CJ)

*POESIE (CE2) : réciter la poésie en entier

*MATHS (CE2) : Multiplier par 20, 300,…

Faire la fiche de travail qu’il faudra imprimer et que vous trouverez grâce au lien ci-dessous.

lien pour fiche http://www.ec-dossenheim-zinsel.ac-strasbourg.fr/wp-content/upLoads/Multiplier-par-20.docx

*LECTURE (CE2) Lire pour découvrir le texte p.68 dans Pépites.

*MATHS (CM1)

A l’aide de la leçon OPE7 et du guide que vous trouverez dans le lien suivant 

poser les 2 premières divisions de l’exercice 5 p 116 du fichier de maths.

Programme de travail du mardi 17 mars

*CONJUGAISON : les verbes pouvoir et vouloir au présent (CE2 et CM1)

  1. Lire la leçon “Je retiens” p 162 Pépites bleu
  2. Faire les exercices   2 et 3  p 163

*MATHS (CE2)

Faire la fiche 58 du fichier : la multiplication posée. (Attention dans le dernier exercice à la place de la retenue que nous mettons à droite.)

*LECTURE (CE2)

Lire pour travailler la fluidité, la ponctuation, les liaisons et l’intonation de la ligne 1 à 11 plusieurs fois.

*MATHS (CM1)

A l’aide de la leçon OPE 7 et du même guide que pour lundi 16 mars, poser les deux dernières divisions de l’exercice 5 p 116 du fichier de maths.

 

Les CE1 CE2 débattent autour du téléphone portable

Chers parents, vos enfants parlent du téléphone. Découvrez leurs avis souvent tranchés et argumentés sur la problématique des enfants qui ont un téléphone. Les élèves de CE1 CE2 se sont exprimés dans le cadre d’un débat très animé en Education morale et civique.

Sur 17 élèves, seuls 3 sont favorables. Loris : “C’est un peu efficace si on oublie un devoir très important. On peut appeler un copain.” Jade : “Quand on s’ennuie et qu’on n’a rien à faire, je trouve que le téléphone c’est bien.” Eva aime bien le téléphone.

11 autres enfants estiment que cet objet  n’est pas bon pour eux. L’est-il pour les adultes? On peut se poser la question en écoutant leurs observations.

Plusieurs évoquent les problèmes de santé (vue, dépendance). Nathan : “C’est pas bon pour les yeux. Il y a une lumière qui abîme le cerveau et les yeux. L’écran est trop petit.” Lily : “A cause du téléphone, on a besoin de mettre des lunettes.” Tiara : “Moi, j’aime pas le téléphone parce qu’on reste sur le téléphone toute la journée!” Elise : “On peut être accro au téléphone!” Jeanne : “Il y a plein de problèmes : on peut être accro, ne pas écouter ses parents, on ne mange plus, on s’endort trop tard et on est fatigué à l’école.” Bianca : “C’est pas une très bonne idée. On peut devenir dingo à cause du téléphone!”

Pour Lily, on gaspille de l’électricité. Nathan évoque les dangers liés aux réseaux sociaux. Lény rajoute :”On sait tout sur toi, des choses intimes ou personnelles. On peut perdre sa réputation.”

Yann ne voit pas l’utilité d’un téléphone pour des enfants de son âge. Boris et Elina ne voient pas à quoi ça sert. D’ailleurs “les enfants de CE1 CE2 CM1 CM2 n’ont pas le droit d’avoir un téléphone. Point.” Flavien les rejoint :”C’est moins pour notre âge.”

Lény soulève des questions graves :”S’il se passe quelque chose, on peut appeler le 18. Mais on peut aussi nous tuer si on l’utilise en voiture en conduisant.” A leur âge, conduire n’est pas encore d’actualité. Et puis, téléphoner ou conduire, il faut choisir.

Il faut reconnaître que les avis de ces élèves sont intéressants. Des questions importantes et réfléchies sont soulevées. Ne dit-on pas : “La vérité sort de la bouche des enfants?”

A la découverte des instruments en cuivre

Dans le cadre du Festival Cuivrissimo actuellement en cours dans notre secteur, le directeur de l’école de musique de Bouxwiller , André Ackermann, est venu ce matin à l’école avec deux autres professeurs de musique..

Ils ont présenté les différents instruments aux enfants enchantés. Après avoir interprétés une petite mélodie, chaque professeur a décrit son instrument et les différentes sonorités qu’il peut produire.

Enfin, les élèves ont pu essayer d’extraire certaines notes des cors, trombone à coulisse, trompettes….

Dimanche prochain aura lieu à la salle de la Zinsel à 16h, un concert où deux ensembles de cuivre vont se produire. Plus de 50 instruments et c’est gratuit!

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Profitez en.

La nature a besoin de nous!

Nous, les enfants de l’école de Dossenheim, avons enfilé des gants, des bottes et un dossard pour nettoyer la nature.

Nous avons ramassé des mégots, des bouteilles en plastique et en verre, du carton, des papiers d’emballage, des fils électriques, des canettes, une écharpe, des morceaux de polystyrène, des emballages en aluminium, des morceaux de verre, etc…  Nous avons jeté la bouteille en verre dans la benne de tri sélectif. Elle sera recyclée.

Nous avons trouvé beaucoup de déchets alors que la distance parcourue était petite. La nature est polluée, elle est en danger! Le plastique envahit les océans. Il faut agir. Maintenant, c’est à vous de jouer!

A la découverte de la mare

Dans leur projet sur l’eau, les CE2 CM1 ont passé une journée à la MER (Maison de l’Eau et de la Rivière) pour étudier de près, parfois de très près, les habitants de la mare.

Leurs textes témoignent de cette journée, où équipés de bottes en caoutchouc, les enfants ont pris beaucoup de plaisir à rencontrer les petites bêtes de la mare, mais aussi à découvrir en s’amusant bien d’autres choses…

Nos magnifiques prélèvements par Inès, Elina, Soren et Nino

Equipés d’une épuisette et d’un seau, nous sommes partis à la mare. Avant de pêcher, on a dû remplir le fond du seau avec de l’eau de la mare.

Nous avons pêché beaucoup de têtards, des larves de dytiques, des tritons. La larve de dytique mange les têtards et presque tout ce qui vit dans la mare parce qu’elle a peu de prédateurs. Elle mange aussi son ou ses frères, c’est une cannibale!

On a encore pêché la nèpe qu’on appelle aussi le scorpion d’eau et la grenouille, la limnée, l’argyronète et plein d’autres…

Ça nous a beaucoup, beaucoup plu de prélever ces animaux.

    

    

Les habitants de la mare par Noémie, Agate, Jules G et Adrien

Mardi 14 mai, nous étions à la Maison de l’Eau et de la Rivière. Nous avons appris des noms d’amphibiens comme les têtards qui sont des larves de grenouilles ou de crapauds, des noms d’insectes aquatiques comme la larve de dytique qu’on appelle aussi les dents de la mare, la nèpe qui est comme un scorpion d’eau, les gerris qui ressemblent à des araignées d’eau, ils ont 4 grandes pattes et 2 petites. Il y a aussi les araignées dolomèdes, les larves d’éphémères qui deviendront des papillons et les larves de demoiselles, de futures libellules. Il y en a encore plein d’autres. Tous ont besoin les uns des autres pour se nourrir. Ils ont aussi besoin des végétaux qui poussent dans la mare et autour de la mare.

    

Nos découvertes par Camille, Cassie, Hugo et Quentin

Dans la mare, les plantes ont 4 grands avantages. Les animaux peuvent s’y cacher, avoir de l’oxygène, pondre et se nourrir grâce aux végétaux aquatiques.

On a aussi vu des animaux étranges comme les larves de dytiques, des larves de libellules, des têtards qui vivent dans la mare.

Solène, notre animatrice nous a raconté une histoire qui s’appelle la balade du triton. Cette histoire nous a permis de comprendre qu’il ne faut jamais barrer le chemin naturel des animaux. Ces chemins s’appellent les corridors écologiques.

    

Les jeux par Alicia, Mayanne, Arthur W et Gabin

Nous avons commencé la journée par jouer à un vrai ou faux sur la nature. Il fallait se placer à gauche si c’était faux et à droite si c’était juste. On a eu tout juste. Après on a fait des prélèvements d’animaux dans la mare avec une épuisette et un seau. Avec les animaux prélevés, on a fait un musée d’animaux aquatiques. On a cherché leurs noms et on a fait la carte d’identité de l’un des animaux.

    

    

A la pause de midi, on a joué dans le ruisseau qui s’appelle l’Eichel.

L’après-midi, en binôme on était un animal de la mare qui demandait un permis d’habitation. Il fallait savoir où on voulait vivre (dans l’eau, à la surface), à côté de qui (ce qu’on voulait manger), loin de quels animaux (loin de nos prédateurs), ce qui nous permettait de respirer. On a présenté notre animal aux copains.

    

On a fini par une sorte d’épervier avec un héron, des grenouilles et des larves de moustiques. Les grenouilles devaient manger les larves de moustiques. Quand elles étaient attrapées par des hérons, elles devenaient hérons. Les larves de moustiques étaient alors trop nombreuses, car il n’y avait plus assez de grenouilles pour les manger. C’est le déséquilibre de la nature.

  

De la source à l’étang

Dans le cadre de leur classe d’eau, les élèves de CE2 CM1 ont suivi l’Eichel, un cours d’eau, depuis sa source jusqu’à l’étang du Donnenbach. Leur animateur nature Emile, de l’association des Piverts, leur avait concocté un programme très riche et intéressant. La journée a été ponctuée de temps de recherches, d’observations, de jeux qui ont permis de multiples apprentissages sur cette zone humide particulière et ses habitants. Voici les textes des élèves.

La journée à l’Eichel  par Gabin, Quentin et Benjamin

Quand on est arrivé à la lisière de la forêt à La Petite Pierre, Emile nous a accueilli. Là, il nous a expliqué ce que nous allions faire pendant la journée. Nous avons commencé par mimer le cycle de l’eau, ce qui nous a rappelé notre leçon en classe.  Avant de partir en forêt, il nous a distribué des outils et une carte dont nous étions responsables. Une fois que l’on s’est repéré sur la carte, nous sommes partis en forêt. C’est une forêt de hêtre, ça s’appelle une hêtraie. On a marché un peu puis nous avons fait un jeu en faisant la maquette d’une rivière avec des branches. Nous avons appris des mots sur la rivière. On a continué le chemin jusqu’à la source de l’Eichel. C’est là qu’on a pêché, qu’on a mesuré la température de l’eau, qu’on a vérifié la turbidité de l’eau, on a dessiné le paysage. Ensuite, nous sommes repartis. On a marché jusqu’à un ancien sentier et là, on s’est protégé des tiques. La méthode pour ne pas avoir de tiques c’est de mettre le pantalon dans les chaussettes. On est monté, on a crapahuté, on est descendu sur ce sentier où la nature avait repris ses droits. Dur, dur!… Enfin, on s’est arrêté pour manger tranquillement au bord du ruisseau. L’après-midi, on a repris un sentier qui longeait l’Eichel. On s’est arrêté pour observer et dessiner une plante au milieu d’un marécage. Emile nous a montré la prêle, la dorine, la populage et la sphaigne. On a continué le chemin jusqu’à ce qu’on arrive à l’aulnaie où on a fait le même travail qu’à la source. Puis nous avons rejoint l’étang du Donnenbach dans lequel se jette l’Eichel et nous avons dû reprendre le car pour rentrer.

        

Le jeu de la maquette par Tom, Clara et Alicia

On a fabriqué une maquette pour représenter une rivière avec des branches, des feuilles, et de la mousse. On l’a construite dans la forêt. Chaque enfant avait une étiquette avec un mot et il fallait se mettre à la bonne place. Nous avons placé les étiquettes suivantes : amont, aval, lit, berge, rive droite, rive gauche, méandre.

    

Quelques travaux dans la forêt par Louise, Eva, Arthur W et Cassie

Nous avons fait plusieurs travaux différents : on a pêché avec une épuisette et un gobelet et on a déterminé le noms des animaux. On a mesuré la température de l’eau avec un thermomètre. Nous avons observé la turbidité de l’eau, si elle est claire ou trouble avec une bouteille dans laquelle il y avait un papier au fond avec des gris clairs et foncés. On a regardé la vitesse de l’eau. Nous avons aussi appris de nouveaux mots, des noms de fleurs et de bêtes.

Tous les objets nous ont été prêtés par Emile, l’animateur.

            

A la source par Agate, Elina, Inès et Esteban.

On était à la source de l’Eichel. La source c’est le début d’une rivière, l’endroit où l’eau sort de la terre. On a pris la température de l’eau, elle était à 7°C. On a pêché des tritons, des tétards, des grenouilles, des araignées. Il y avait de la vase. L’eau était claire, c’est la turbidité de l’eau. On a dessiné la nature devant nous. On a fait le silence et on a entendu beaucoup d’oiseaux, des pinsons et un pivert. Notre animateur s’appelait Emile.

                

A l’aulnaie par Emma, Adrien et Jules N

On va vous présenter l’aulnaie. L’aulnaie est une forêt remplie d’aulnes. L’aulne est un arbre qui pousse dans l’eau. Il y a de l’eau stagnante et au milieu coule l’Eichel. Il y avait de la vase dans ce marécage. Il y avait beaucoup d’animaux dans l’eau : des tritons, des gammares, des tétards, des larves d’éphémère et de libellule. Nous les avons pêché sur un pont en bois. A l’aulnaie, la température de l’eau était de 14°C. Elle était plus chaude qu’à la source.

            

Nos magnifiques découvertes par Nino, Jules G, Mayanne et Hugo

Le 25 avril, nous sommes partis près de la Maison de l’Eau et de la Rivière. Nous avons appris et découvert de nombreuses choses.

Nous avons découvert comment reconnaître un crapaud mâle. On le reconnaît parce qu’il a des pattes avant plus musclées que la femelle et sur ses pouces il a comme des crampons pour s’accrocher à la femelle qui le porte pour aller pondre. On a aussi appris que la turbidité c’est si l’eau est trouble ou pas. On a encore appris à mesurer la température de l’eau avec un thermomètre, comme à la source où l’eau était à 7°C.

Nous avons appris que dès qu’il y a un triangle rouge sur un arbre mort on n’a pas le droit de le couper, parce que dans ces arbres il y a plein de petites bêtes qui servent de nourriture à d’autres.

Nous avons aussi découvert la prêle des bois qui existait sous forme d’arbre au temps des dinosaures alors que maintenant elle a la même taille qu’une fleur. On la nomme aussi la plante lego parce qu’elle se déboîte et s’emboîte. En Nouvelle Zélande, elle existe encore aujourd’hui sous forme d’arbre. Emile nous a aussi expliqué que la sphaigne, une plante-éponge, est une plante protégée parce qu’elle pousse sur elle-même d’un seul petit cm par an. Il existe aussi la populage  des marais et la dorine : ces deux plantes poussent aussi dans les marécages.

Nous avons appris que selon les animaux qui vivent dans les cours d’eau, l’eau est plus ou moins polluée. Dans l’Eichel nous avons trouvé des larves d’éphémère, des gammares, des larves de libellule. La présence de ces animaux sont le signe d’une eau légèrement polluée…

                    

Nos définitions de mots nouveaux par Noémie, Camille et Arthur F

Jeudi, 25 avril, nous étions à la source de l’Eichel et nous avons appris des nouveaux mots.

La berge veut dire le bord de l’eau. La rive est un synonyme de la berge.

Pour distinguer la rive gauche de la rive droite, il faut se mettre dans le sens du courant.

Le lit est le milieu de la rivière, là où elle coule. Il y a le lit mineur et le lit majeur. Le lit majeur est l’espace qu’occupe la rivière quand elle déborde.

L’amont est plus haut que là où l’on se trouve, et l’aval est plus bas, vers la vallée.

Un méandre est une boucle formée par la rivière.

La turbidité nous apprend si l’eau est claire ou trouble.

Nous avons appris ce qu’est une hêtraie, c’est une forêt de hêtres, une aulnaie est une forêt d’aulnes, une chênaie de chênes, etc…

Le bassin versant est la partie de la montagne où l’ensemble des ruisseaux rejoignent une même rivière.

Une tourbière est une zone humide où poussent des plantes qui se décomposent.

Nous avons fini de vous présenter les mots que nous avons appris.

 

 

 

L’Opéra de Strasbourg

Avec la classe, nous sommes allés à l’Opéra! Dès qu’on est entré dans la salle, j’étais un peu déçue, comme tous les autres élèves, je crois… Nous aurions voulu voir la grande salle de l’Opéra. Mais notre salle était quand-même belle.

C’était impressionnant. Les voix des chanteurs et chanteuses étaient fortes, mais aussi graves ou aigües. Ils faisaient ressentir la colère ou la tristesse…

L’histoire parlait de Clara Schumann, une grande pianiste.

Nous avons écouté et regardé avec admiration…

Je n’avais pas envie de partir parce que j’ai beaucoup aimé! J’ai aussi beaucoup aimé la pianiste. Les chanteurs jouaient bien la comédie… C’était bien!

Eva

Le musée zoologique

Lundi 25 février, nous sommes allés au musée zoologique de Strasbourg.

A l’entrée, il y a une girafe naturalisée.

Laeticia, notre animatrice, nous a guidé dans le musée. Nous avons vu des ours polaires, un lion, des fennecs, des insectes, toutes sortes d’animaux… On devait toujours chercher ce que les animaux avaient en commun.

       

Ensuite on est rentré dans une salle où on a dessiné des animaux qu’on avait sorti des armoires. Ces animaux étaient impressionnants et très beaux. Nous étions très attentifs à ce que Laeticia nous disait. On a classé les animaux qui ont les mêmes caractéristiques dans des boîtes. C’est la classification animale.

       

        

L’écureuil et l’oiseau sont proches car ils ont tous les deux une bouche, des yeux, un squelette interne et 4 membres locomoteurs.

Celui qui naturalise est le taxidermiste. Aujourd’hui, on ne met plus de paille à l’intérieur des animaux mais de la mousse.

Noémie

Les élèves à la caserne des pompiers de Bouxwiller

Chez les pompiers

Vendredi, 15 juin, nous sommes allés à la caserne des pompiers de Bouxwiller. Les pompiers nous ont très bien accueillis.

D’abord, ils nous ont montré la salle de détente, puis la salle de sport, il faut être en forme pour être pompier! Ensuite, nous sommes allés dans la salle d’appel où arrivent les demandes d’intervention et pour finir nous avons vu les vestiaires.

On nous a présenté tous les camions de pompiers et nous avons pu monté dedans. Puis nous avons pu essayer les lances à eau et l’équipement. Enfin, nous avons pris un goûter. C’était très intéressant.

Quentin M, Arthur F. , Jérémy K.

L’équipement des pompiers

L’équipement d’un pompier dans la caserne est un pantalon et un polo bleu marine avec une bande rouge et un badge écrit sapeur-pompier. Il a aussi un biper qui en cas d’urgence bipe.

L’équipement en cas d’incendie est un sur-pantalon, une cagoule, un casque, une veste, des gants, des bottes, la bouteille d’air, un talkie-walkie pour communiquer et une balise. L’ensemble pèse environ 10 kg.

Romane M., Ambre K., Camille K., Mathis A.

Les différentes missions

L’ambulance est utilisée en cas de malaise, d’arrêt cardiaque, d’amputation et d’accident de voiture. Les gendarmes protègent les pompiers des voitures qui passent près d’un accident. Ils interviennent aussi pour les étouffements et les intoxications et même pour les animaux : il y avait un cheval et même un cerf dans une piscine!

Les pompiers interviennent surtout pour les feux et des fois dans la forêt. Quand ils sont entourés par les flammes en forêt, ils actionnent les buses qui se trouvent autour de la cabine pour l’arroser et la protéger du feu.

Quand les pompiers interviennent lors d’un accident, ils doivent parfois désincarcérer la victime pour la sortir de la voiture. Ils utilisent alors une énorme pince électrique pour découper la carrosserie.

Lara F., Jordane G., Lilie B., Léonie D.

Le Véhicule de Secours et d’Assistance aux Victimes (VSAV)

Dans le véhicule de secours et d’assistance aux victimes il y a un brancard qui sert à transporter les victimes dans l’ambulance. Il y a aussi un défibrillateur pour les sauver d’un arrêt cardiaque. Et puis, il y a un masque à oxygène si la victime en a besoin. Il y a aussi un aspirateur si on a quelque chose coincé dans la gorge. Il y a aussi un sac froid pour les victimes qui ont perdu un doigt. Et encore une couverture de survie qui a deux côtés  : le doré pour protéger du froid et l’argenté pour protéger de la chaleur.

Loïck S., Gabin W., Corentin M., Axelle M.

 

Les camions spéciaux : forêt et rail

Dans la forêt, on utilise un camion spécial. Il est équipé de lances à eau. Il y a aussi des tronçonneuses et des rallonges. Celles-ci pèsent 30 kg. Les pompiers ont des casques spéciaux avec des lunettes intégrées en cas de fumée et de feu de forêt. Il y a aussi des haches et des ventilateurs. Si le camion ne peut pas passer, on utilise des tronçonneuses. Elles servent aussi à couper les arbres pour empêcher le feu de se propager.

Sur les rails, il y a un engin spécial avec plusieurs remorques qui circules sur les rails. Il a été utilisé une fois sur le chantier du TGV, pour secourir un ouvrier en danger dans le tunnel.

Mattéo F., Aïdan S., Esteban N., Engélo K.

Activités avec les lances

Chez les pompiers, on a eu le droit d’utiliser les lances à incendie. Il y a plusieurs modes de jet. Il y a le jet qui est large, il arrose tout. Puis, il y a le jet fin qui vaporise pour enlever la fumée et le jet qui va loin et qui est puissant. Il y a plusieurs tuyaux pour éteindre différents feux et pour enlever la fumée. La rallonge de la lance à incendie pèse 30 kg. Le pompier la porte sur son dos!

Noémie G., Lara A.,  Quentin H., Mathias B.

La sortie au parc éolien de Dehlingen

Dans le cadre du projet sur les énergies, les élèves de CE2, CM1 et CM2 ont approfondi leurs connaissances sur les éoliennes. D’abord, de nouveaux ateliers à la Grange aux paysages à Lorentzen ont mis en lumière différents aspects sur ce producteur d’énergie. Un jeu de rôle très instructif a notamment permis aux enfants de comprendre que l’implantation d’un parc éolien n’était pas simple, les enjeux et les contraintes étant multiples. Une visite pédagogique du parc éolien de Dehlingen a finalisé ce projet où Dame Eole nous a honoré de sa présence.

Les éoliennes

Nous allons vous parler des éoliennes de Dehlingen.

Une éolienne mesure 125m de haut, les pales mesurent 45m de long et le mât 80m de haut. Il faut 37 enfants pour faire le tour d’une éolienne. Une éolienne pèse 460 t . Les fondations de cette machine pèsent 800 t. La durée de vie  d’une éolienne est d’au moins 20 ans. Le prix de ce générateur, son installation et son raccordement coûte 4,5 millions d’euros.

Comme une éolienne fait le même bruit qu’un lave-vaisselle, c’est-à-dire 60 dB, il faut qu’elle soit au moins à 500m des habitations.

Il faut 6 mois pour fabriquer ce producteur d’électricité, une semaine pour le monter et un ou deux jours pour le démonter. 90% des pièces se recyclent. Il faut 7 camions pour transporter une éolienne.

Pour qu’une éolienne tourne, il faut que le vent soit à 15 km/h. Quand le vent commence à être fort, l’éolienne pivote et se met dans le sens du vent.  A partir de 90 km/h, elle s’arrête. L’anémomètre donne la vitesse du vent. Nous l’ avons mesuré : à 2m50, le vent était de 17 km/h.

Romane et Noémie

Comment et où implanter des éoliennes?

Quand on doit implanter des éoliennes, il faut faire attention aux habitations car la distance doit être de 500 m. Il faut aussi faire attention aux oiseaux qui font des nids près des éoliennes. Donc à Dehlingen, en juin, on arrête les éoliennes pendant une semaine pour que le milan royal puisse chasser sans danger.

Pour construire un parc éolien, il faut au moins 5 éoliennes. On peut mettre ce producteur d’énergie sur une colline mais pas trop près des forêts parce que les arbres arrêtent le vent.

Les paysans peuvent louer leurs parcelles où on installe des éoliennes, en même temps, ils gagnent de l’argent.

On doit demander la permission au maire s’il est d’accord pour qu’on implante des éoliennes.

Axelle et Lilie.

Les acteurs dans un projet éolien et leurs intérêts.

Les promoteurs d’éoliennes doivent trouver le bon endroit pour gagner plus d’argent qu’ils n’en dépensent. Il faut que le projet soit rentable. Les agriculteurs  et les éleveurs sont d’accord pour louer leurs champs et leurs prés, mais ils ont peur que ça effraye leurs animaux.

Les naturalistes veulent qu’on fasse attention aux oiseaux et à la nature.

Les propriétaires d’un gîte ou d’un hôtel sont ravis d’avoir des éoliennes pour attirer des clients mais ils ne les veulent pas trop près, ni trop loin.

L’association “non aux éoliennes” dit que ça pollue l’environnement visuel.

Le maire veut satisfaire les villageois pour qu’il soit réélu aux prochaines élections.

Jordane, Léonie et Lara F

Le grand rhinolophe, un animal à découvrir

Les élèves de CE2 CM1 et CM2 ont eu l’immense chance d’assister à la projection du film  “Une vie de grand rhinolophe”. Ce documentaire embarque le spectateur à la découverte d’une espèce de chauve-souris. Il découvre ainsi comment cet animal évolue dans son milieu naturel, quel est son intérêt pour l’homme et la nature.

Filmé avec beaucoup de poésie par Tanguy Stoecklé, ce film d’une durée de 49 minutes,a véritablement captivé l’assistance. A l’issue de la projection, un échange très intéressant a pu avoir lieu avec le réalisateur. Une chance inouïe…

En classe, l’exploitation de ce film a donné lieu à divers travaux et séances de sciences, de vocabulaire, d’expression écrite.  Voici un aperçu des productions des élèves de CE2 CM1.

Le Grand rhinolophe

Il pèse de 17 à 30 grammes. Il mesure de 5,7 à 7 cm. Son envergure est de 35 à 40 cm. Il peut vivre jusqu’à 30 ans.Ses ailes  lui servent à  voler. Ce sont ses mains. Elles sont recouvertes de patagium. Le rhinolophe s’accroche au plafond avec ses orteils.Quand il hiberne sa température baisse jusqu’à 7°C. Quand il se réveille, sa température monte à 40°C. Si on le réveille avant la fin de sa période d’hibernation, il meurt car cela lui prend trop d’énergie et de graisse pour finir d’hiberner.                                                                 MATTEO    GABIN

Leur habitat

L ‘été, les chauves-souris sont  dans des granges. Elles dorment et hibernent dans des caves ou dans des grottes en hiver. Elles dorment au plafond pour qu’elles puissent mieux s’envoler et se protéger.  CORENTIN  AMBRE

L’alimentation des chauves-souris

Les chauve-souris mangent des insectes: des abeilles, par exemple. Pourquoi les chauves-souris sont malades? Parce que les insectes mangent des pesticides et après les chauves-souris mangent les insectes.  NOEMIE  CAMILLE  AXELLE

La chasse

Les chauves-souris chassent la nuit les insectes. Elles s’éloignent de 5 km pour chasser. Parfois elles vont jusqu’à 15 km de leur gîte. Elles volent lentement, en papillonnant, à une vitesse de 8 km/h. Elles chassent près des lacs et dans les forêts.  MATHIAS ARTHUR ESTEBAN

A LA NAISSANCE

Le  bébé  sort par le vagin. Une fois sorti, la maman lave le petit. Trois  jours après, le nouveau né s’accroche au ventre de sa mère. La maman part chasser avec son petit sur le ventre. Il ouvre les yeux au bout de 7 jours. Quand il est assez grand pour rester seul, elle gigote pour qu’il s’accroche au plafond.

LARA A   ENGELO

L’éducation de la chauve-souris

Quand le bébé naît, il est serré contre le ventre de sa mère.Quand la maman doit partir pour aller en chasse, elle doit gigoter pour que le bébé s’accroche au plafond.Puis pendant que la mère chasse, les autres mamans chauves-souris veillent sur lui.Le bébé commence à voler au bout de 26 jours.Il reste d’abord dans la grange. Il sort chasser après 30 jours près du gîte. Sa mère lui apprend à chasser. Vers 60 jours, il a atteint sa taille adulte. Il s’éloigne progressivement de son habitat.                                                            JORDANE LEONIE CHLOE

   L’hibernation                 

La chauve-souris hiberne pendant 4 à 6 mois. Elle stocke plein de graisse dans son corps en automne. La température de ce mammifère descend à 7°C. Elle ralentit son rythme cardiaque pour hiberner. A la fin de l’hibernation, sa température remonte à 40°C puis elle se réveille. Elle hiberne dans une grotte. LARA  A.  ENGELO

L’écholocation de la chauve-souris

Les chauves-souris envoient des cris tellement aigus que nous les humains nous ne les entendons même pas ! Ca s’appelle des ultra-sons. Et les cris de l’animal résonnent et lui reviennent, comme ça elle sait si c’est un obstacle .On appelle ça un écho.                                                          AÏDAN   LOÏCK  JEREMY

Les menaces des chauves-souris

Les voitures : les chauves-souris traversent les routes à 1 mètre de hauteur.

Les pesticides: quand les insectes mangent les plantes , ils sont intoxiqués. Après, les chauves souris mangent les insectes, elles tombent malades.

Les prédateurs : les rapaces (faucons,éperviers,chouettes), les serpents, les mammifères carnassiers(chats,belettes,fouines).  MATHIS    LARA F   LILIE

 La capture des chauve-souris

Pour capturer les chauves-souris, il faut étendre un filet. Les scientifiques les capturent pour les étudier. Mais il faut agir vite pour ne pas qu ‘elles meurent ou qu’elles ne se blessent. Après avoir été étudiés, les grands rhinolophes sont relâchés dans la nature.               ROMANE  QUENTIN  M     QUENTIN H

Les CE2 CM1 lisent des histoires aux petits

Lundi 20 novembre, les élèves de CE2 CM1 ont lu des albums aux enfants de maternelle. Cette activité a été vécue comme un cadeau par les jeunes lecteurs. Perfectionnistes, ils se sont entraînés durant une semaine pour que la fluidité et l’intonation soient au point, également pour qu’ils pensent à montrer les illustrations de chaque page aux petits. Très impatients, ils n’en pouvaient plus d’attendre que ce moment se réalise.

Enfin, le jour J est arrivé et avec lui le trac! La peur de ne pas être à la hauteur, que le jeune enfant de maternelle n’entre pas dans l’histoire, qu’il ne l’écoute pas. Des groupes de deux ou trois enfants se sont formés. Certains frères et soeurs ont ainsi pu partager ce temps de lecture. Les inquiétudes initiales se sont vite dissipées car tout s’est très bien passé.

Après la lecture, chaque “grand” devait accompagner les plus jeunes dans une trace écrite, les aider à copier le titre, à exprimer leur avis quant à l’histoire puis à l’écrire sous forme de dictée à  l’adulte et lui permettre de s’approprier l’histoire grâce à un dessin.

Chacun était heureux de ce partage, grandi par cette expérience que certains auraient voulu qu’elle se prolonge encore et encore… Des vocations de professeur des écoles sont peut-être nées ce jour-là?

 

De fil en … bracelet

Lors de notre séjour à l’Ecomusée, nous avons appris à tisser dans l’atelier du fil au tissu. Nous avions un métier à tisser, une navette, du fil de laine. Il fallait passer la navette dessus puis dessous le fil de la trame du métier. Nous avons aussi appris dans cet atelier comment on obtenait le fil. C’est à partir de fibres de lin et de chanvre qui sont des plantes que l’on cultivait, qu’on avait du fil pour faire des nappes, des draps en lin ou des toiles de jute en chanvre. On pouvait filer la fleur de coton et ainsi faire des tissus pour s’habiller. La laine des moutons étaient filée aussi pour des lainages.

     

Comme nous avions beaucoup aimé cette activité, nous avons eu l’idée de tisser des bracelets pour la fête des mères. Nous avons fabriqué des métiers en carton. un bout de scotch au bout du fil permettait de guider celui-ci et de remplacer la navette. Nous avons utilisé deux fils en alternance pour confectionner des bracelets bicolores. C’était un peu plus technique et délicat, mais le résultat est satisfaisant. Jugez plutôt!